I Dans cette phrase « dessus » signifie « à propos de cela », concernant cela » ou encore « qui ce rapporte à cela » et dit encore différemment « à ce sujet ». On pourrait aussi dire « là-dessus » (réf.).
II Cela signifie « vouloir connaitre l'information disponible » dans le cas présent, et généralement « être intéressé ». (réf.).
I Très apparemment, il ne peut s'agir que d'une erreur. Il n'est pas clair dans cette locution s'il s'agit du nom « preneur » ou de l'adjectif, mais il semble que quelle que soit la nature de ce mot il faudrait un s à la fin de preneur ; c'est en tous cas la seule façon de l'écrire dans les livres (réf.) ; pour l'expression « être acheteur », de même un s est utilisé (nous sommes acheteurs) et « acheteur » est un nom aussi bien qu'un adjectif (réf.).
IV En réponse à un commentaire de user Dimitris (Avez-vous des sources sur la provenance de cette expression ? Est-elle courante ? Je crois ne pas l'avoir entendu une seule fois auparavant.)
Je n'ai pas de preuve écrite de la source du sens premier ou une étymologie pour ainsi dire. Ce que l'on peut dire c'est que le présent sens est le résultat d'un glissement récent que l'on peut vérifier dans le TLFi parce que l'on ne trouve pas l'acception qui a été mentionnée ci-dessus (« être intéressé »). J'ai souvent entendu cette expression au cours de ma vie et elle n'a jamais eu ce sens ; le sens courant qu'elle a toujours eu est le sens « C » du TLFi.
C. − Personne disposée à acheter ou à conclure un marché. Synon. acheteur, acquéreur.
- Être preneur du lot; trouver preneur à bon prix. Courtin: (...) Je vous offre ma fille (...) Je donne cinq cent mille francs (...) Oui ou non. Chavarot: Permettez (...) une proposition aussi inattendue (...) Courtin: Réponse!... J'ai preneur! Chavarot: Je prends! (Labiche, Ptes mains, 1859, i, 13, p.38).
On l'utilisait dans le cadre de transactions moyennant une rétribution financière, essentiellement, et il doit rester une solide proportion de la population qui préserve ce sens. Néanmoins ce mot semble avoir été détourné de son sens premier. Il faut dire que dans la littérature récente la nouvelle acception est bien plus souvent celle dont il est question alors que l'acception initiale se fait rare, cette information étant issue d'un rapide examen des livres récents. Voilà un ngram qui montre que c'est une locution de plus en plus utilisée et donc, d'après les livres, de plus en plus utilisé selon son nouveau sens : réf..