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orthographe "caricature"
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Joubarc
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Bon, c'est compliqué.

« Ceusses » est au départ du français volontairement incorrect, qu'on ne trouve quasiment que dans la locution « les ceusses », dont l'équivalent grammaticalement correct est « ceux ». On la rencontre souvent dans une expression figée :

Les ceusses d'aujourd'hui ne sont pas aussi grands que les ceusses d'hier.

C'est une expression presque proverbiale, surtout orale (même si je suis étonné de ne voir apparaître aucune occurrence sur Googleaucune occurrence sur Google — heureusement que ce vide va être comblé derechef). Elle caricature le regret fréquent pour le passé, les phrases du type « les [groupe nominal] d'aujourd'hui ne sont pas aussi [adjectif laudatif] que ceux d'hier ».

« Les ceusses » est plus généralement une expression familière qui veut dire « les gens ». C'est une expression avant tout orale mais qui a bien fait son entrée à l'écrit.

La deuxième partie de cette phrase, c'est l'utilisation de l'imparfait du subjonctif. Ce temps a quasiment disparu de la langue courante, on utilise le subjonctif présent à la place. L'imparfait du subjonctif est aujourd'hui réservé à la langue soutenue et paraît hypercorrect lorsqu'on l'utilise à l'oral1,2.

Je veux qu'il vienne. (présent)
Je voulais qu'il vienne. (passé, langage courant)
Je voulais qu'il vînt. (passé, langage soutenu)

La phrase mélange donc une expression familière essentiellement orale avec une tournure soutenue.

¹ Sauf De Gaulle, un ceusse d'hier plus grand que les ceusses d'aujourd'hui, qui le faisait bien passer.
² Ce que regrettent les ceusses qui créent des associations de défense du subjonctif imparfait.

Bon, c'est compliqué.

« Ceusses » est au départ du français volontairement incorrect, qu'on ne trouve quasiment que dans la locution « les ceusses », dont l'équivalent grammaticalement correct est « ceux ». On la rencontre souvent dans une expression figée :

Les ceusses d'aujourd'hui ne sont pas aussi grands que les ceusses d'hier.

C'est une expression presque proverbiale, surtout orale (même si je suis étonné de ne voir apparaître aucune occurrence sur Google — heureusement que ce vide va être comblé derechef). Elle caricature le regret fréquent pour le passé, les phrases du type « les [groupe nominal] d'aujourd'hui ne sont pas aussi [adjectif laudatif] que ceux d'hier ».

« Les ceusses » est plus généralement une expression familière qui veut dire « les gens ». C'est une expression avant tout orale mais qui a bien fait son entrée à l'écrit.

La deuxième partie de cette phrase, c'est l'utilisation de l'imparfait du subjonctif. Ce temps a quasiment disparu de la langue courante, on utilise le subjonctif présent à la place. L'imparfait du subjonctif est aujourd'hui réservé à la langue soutenue et paraît hypercorrect lorsqu'on l'utilise à l'oral1,2.

Je veux qu'il vienne. (présent)
Je voulais qu'il vienne. (passé, langage courant)
Je voulais qu'il vînt. (passé, langage soutenu)

La phrase mélange donc une expression familière essentiellement orale avec une tournure soutenue.

¹ Sauf De Gaulle, un ceusse d'hier plus grand que les ceusses d'aujourd'hui, qui le faisait bien passer.
² Ce que regrettent les ceusses qui créent des associations de défense du subjonctif imparfait.

Bon, c'est compliqué.

« Ceusses » est au départ du français volontairement incorrect, qu'on ne trouve quasiment que dans la locution « les ceusses », dont l'équivalent grammaticalement correct est « ceux ». On la rencontre souvent dans une expression figée :

Les ceusses d'aujourd'hui ne sont pas aussi grands que les ceusses d'hier.

C'est une expression presque proverbiale, surtout orale (même si je suis étonné de ne voir apparaître aucune occurrence sur Google — heureusement que ce vide va être comblé derechef). Elle caricature le regret fréquent pour le passé, les phrases du type « les [groupe nominal] d'aujourd'hui ne sont pas aussi [adjectif laudatif] que ceux d'hier ».

« Les ceusses » est plus généralement une expression familière qui veut dire « les gens ». C'est une expression avant tout orale mais qui a bien fait son entrée à l'écrit.

La deuxième partie de cette phrase, c'est l'utilisation de l'imparfait du subjonctif. Ce temps a quasiment disparu de la langue courante, on utilise le subjonctif présent à la place. L'imparfait du subjonctif est aujourd'hui réservé à la langue soutenue et paraît hypercorrect lorsqu'on l'utilise à l'oral1,2.

Je veux qu'il vienne. (présent)
Je voulais qu'il vienne. (passé, langage courant)
Je voulais qu'il vînt. (passé, langage soutenu)

La phrase mélange donc une expression familière essentiellement orale avec une tournure soutenue.

¹ Sauf De Gaulle, un ceusse d'hier plus grand que les ceusses d'aujourd'hui, qui le faisait bien passer.
² Ce que regrettent les ceusses qui créent des associations de défense du subjonctif imparfait.

orthographe, et un truc à la con parce que je suis obligé de changer 6 caractères...
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Bon, c'est compliqué.

« Ceusses » est au départ du français volontairement incorrect, qu'on ne trouve quasiment que dans la locution « les ceusses », dont l'équivalent grammaticalement correct est « ceux ». On la rencontre souvent dans une expression figée :

Les ceusses d'aujourd'hui ne sont pas aussi grands que les ceusses d'hier.

C'est une expression presque proverbiale, surtout orale (même si je suis étonné de ne voir apparaître aucune occurrence sur Googleaucune occurrence sur Google — heureusement que ce vide va être comblé derechef). Elle carricaturecaricature le regret fréquent pour le passé, les phrases du type « les [groupe nominal] d'aujourd'hui ne sont pas aussi [adjectif laudatif] que ceux d'hier ».

« Les ceusses » est plus généralement une expression familière qui veut dire « les gens ». C'est une expression avant tout orale mais qui a bien fait son entrée à l'écrit.

La deuxième partie de cette phrase, c'est l'utilisation de l'imparfait du subjonctif. Ce temps a quasiment disparu de la langue courante, on utilise le subjonctif présent à la place. L'imparfait du subjonctif est aujourd'hui réservé à la langue soutenue et paraît hypercorrect lorsqu'on l'utilise à l'oral1,2.

Je veux qu'il vienne. (présent)
Je voulais qu'il vienne. (passé, langage courant)
Je voulais qu'il vînt. (passé, langage soutenu)

La phrase mélange donc une expression familière essentiellement orale avec une tournure soutenue.

¹ Sauf De Gaulle, un ceusse d'hier plus grand que les ceusses d'aujourd'hui, qui le faisait bien passer.
² Ce que regrettent les ceusses qui créent des associations de défense du subjonctif imparfait.

Bon, c'est compliqué.

« Ceusses » est au départ du français volontairement incorrect, qu'on ne trouve quasiment que dans la locution « les ceusses », dont l'équivalent grammaticalement correct est « ceux ». On la rencontre souvent dans une expression figée :

Les ceusses d'aujourd'hui ne sont pas aussi grands que les ceusses d'hier.

C'est une expression presque proverbiale, surtout orale (même si je suis étonné de ne voir apparaître aucune occurrence sur Google — heureusement que ce vide va être comblé derechef). Elle carricature le regret fréquent pour le passé, les phrases du type « les [groupe nominal] d'aujourd'hui ne sont pas aussi [adjectif laudatif] que ceux d'hier ».

« Les ceusses » est plus généralement une expression familière qui veut dire « les gens ». C'est une expression avant tout orale mais qui a bien fait son entrée à l'écrit.

La deuxième partie de cette phrase, c'est l'utilisation de l'imparfait du subjonctif. Ce temps a quasiment disparu de la langue courante, on utilise le subjonctif présent à la place. L'imparfait du subjonctif est aujourd'hui réservé à la langue soutenue et paraît hypercorrect lorsqu'on l'utilise à l'oral1,2.

Je veux qu'il vienne. (présent)
Je voulais qu'il vienne. (passé, langage courant)
Je voulais qu'il vînt. (passé, langage soutenu)

La phrase mélange donc une expression familière essentiellement orale avec une tournure soutenue.

¹ Sauf De Gaulle, un ceusse d'hier plus grand que les ceusses d'aujourd'hui, qui le faisait bien passer.
² Ce que regrettent les ceusses qui créent des associations de défense du subjonctif imparfait.

Bon, c'est compliqué.

« Ceusses » est au départ du français volontairement incorrect, qu'on ne trouve quasiment que dans la locution « les ceusses », dont l'équivalent grammaticalement correct est « ceux ». On la rencontre souvent dans une expression figée :

Les ceusses d'aujourd'hui ne sont pas aussi grands que les ceusses d'hier.

C'est une expression presque proverbiale, surtout orale (même si je suis étonné de ne voir apparaître aucune occurrence sur Google — heureusement que ce vide va être comblé derechef). Elle caricature le regret fréquent pour le passé, les phrases du type « les [groupe nominal] d'aujourd'hui ne sont pas aussi [adjectif laudatif] que ceux d'hier ».

« Les ceusses » est plus généralement une expression familière qui veut dire « les gens ». C'est une expression avant tout orale mais qui a bien fait son entrée à l'écrit.

La deuxième partie de cette phrase, c'est l'utilisation de l'imparfait du subjonctif. Ce temps a quasiment disparu de la langue courante, on utilise le subjonctif présent à la place. L'imparfait du subjonctif est aujourd'hui réservé à la langue soutenue et paraît hypercorrect lorsqu'on l'utilise à l'oral1,2.

Je veux qu'il vienne. (présent)
Je voulais qu'il vienne. (passé, langage courant)
Je voulais qu'il vînt. (passé, langage soutenu)

La phrase mélange donc une expression familière essentiellement orale avec une tournure soutenue.

¹ Sauf De Gaulle, un ceusse d'hier plus grand que les ceusses d'aujourd'hui, qui le faisait bien passer.
² Ce que regrettent les ceusses qui créent des associations de défense du subjonctif imparfait.

faute de frappe
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Bon, c'est compliqué.

« Ceusses » est au départ du français volontairement incorrect, qu'on ne trouve quasiment que dans la locution « les ceusses », dont l'équivalent grammaticalement correct est « ceux ». On la rencontre souvent dans une expression figée :

Les ceusses d'aujourd'hui ne sont pas aussi grands que les ceusses d'hier.

C'est une expression presque proverbiale, surtout orale (même si je suis étonné de ne voir apparaître aucune occurrence sur Google — heureusement que ce vide va être comblé derechef). Elle carricature le regret fréquent pour le passé, les phrases du type « les [groupe nominal] d'aujourd'hui ne sont pas aussi [adjectif laudatif] que ceux d'hier ».

« Les ceusses » est plus généralement une expression familière qui veut dire « les gens ». C'est une expression avant tout orale mais qui a bien fait son entrée à l'écrit.

La deuxième partie de cette phrase, c'est l'utilisation de l'imparfait du subjonctif. Ce temps a quasiment disparu de la langue courante, on utilise le subjonctif présent à la place. L'imparfait du subjonctif est aujourd'hui réservé à la langue soutenue et paraît hypercorrect lorsqu'on l'utilise à l'oral1,2.

Je veux qu'il vienne. (présent)
Je voulais qu'il vienne. (passé, langage courant)
Je voulais qu'il vînt. (passé, langage soutenu)

La phrase mélange donc une expression familière essentiellement orale avec une tournuetournure soutenue.

¹ Sauf De Gaulle, un ceusse d'hier plus grand que les ceusses d'aujourd'hui, qui le faisait bien passer.
² Ce que regrettent les ceusses qui créent des associations de défense du subjonctif imparfait.

Bon, c'est compliqué.

« Ceusses » est au départ du français volontairement incorrect, qu'on ne trouve quasiment que dans la locution « les ceusses », dont l'équivalent grammaticalement correct est « ceux ». On la rencontre souvent dans une expression figée :

Les ceusses d'aujourd'hui ne sont pas aussi grands que les ceusses d'hier.

C'est une expression presque proverbiale, surtout orale (même si je suis étonné de ne voir apparaître aucune occurrence sur Google — heureusement que ce vide va être comblé derechef). Elle carricature le regret fréquent pour le passé, les phrases du type « les [groupe nominal] d'aujourd'hui ne sont pas aussi [adjectif laudatif] que ceux d'hier ».

« Les ceusses » est plus généralement une expression familière qui veut dire « les gens ». C'est une expression avant tout orale mais qui a bien fait son entrée à l'écrit.

La deuxième partie de cette phrase, c'est l'utilisation de l'imparfait du subjonctif. Ce temps a quasiment disparu de la langue courante, on utilise le subjonctif présent à la place. L'imparfait du subjonctif est aujourd'hui réservé à la langue soutenue et paraît hypercorrect lorsqu'on l'utilise à l'oral1,2.

Je veux qu'il vienne. (présent)
Je voulais qu'il vienne. (passé, langage courant)
Je voulais qu'il vînt. (passé, langage soutenu)

La phrase mélange donc une expression familière essentiellement orale avec une tournue soutenue.

¹ Sauf De Gaulle, un ceusse d'hier plus grand que les ceusses d'aujourd'hui, qui le faisait bien passer.
² Ce que regrettent les ceusses qui créent des associations de défense du subjonctif imparfait.

Bon, c'est compliqué.

« Ceusses » est au départ du français volontairement incorrect, qu'on ne trouve quasiment que dans la locution « les ceusses », dont l'équivalent grammaticalement correct est « ceux ». On la rencontre souvent dans une expression figée :

Les ceusses d'aujourd'hui ne sont pas aussi grands que les ceusses d'hier.

C'est une expression presque proverbiale, surtout orale (même si je suis étonné de ne voir apparaître aucune occurrence sur Google — heureusement que ce vide va être comblé derechef). Elle carricature le regret fréquent pour le passé, les phrases du type « les [groupe nominal] d'aujourd'hui ne sont pas aussi [adjectif laudatif] que ceux d'hier ».

« Les ceusses » est plus généralement une expression familière qui veut dire « les gens ». C'est une expression avant tout orale mais qui a bien fait son entrée à l'écrit.

La deuxième partie de cette phrase, c'est l'utilisation de l'imparfait du subjonctif. Ce temps a quasiment disparu de la langue courante, on utilise le subjonctif présent à la place. L'imparfait du subjonctif est aujourd'hui réservé à la langue soutenue et paraît hypercorrect lorsqu'on l'utilise à l'oral1,2.

Je veux qu'il vienne. (présent)
Je voulais qu'il vienne. (passé, langage courant)
Je voulais qu'il vînt. (passé, langage soutenu)

La phrase mélange donc une expression familière essentiellement orale avec une tournure soutenue.

¹ Sauf De Gaulle, un ceusse d'hier plus grand que les ceusses d'aujourd'hui, qui le faisait bien passer.
² Ce que regrettent les ceusses qui créent des associations de défense du subjonctif imparfait.

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