Skip to main content
9 events
when toggle format what by license comment
Jun 10, 2017 at 3:36 comment added Pas un clue Un jour on repasse au pays ou les gens du pays passent nous voir. J'ai aussi vécu plus d'une décennie hors du Québec, je connais la ‘misère’ de trouver un titre en un lieu où le français est une langue exotique.
Jun 9, 2017 at 14:24 comment added Philippe Merci pour la référence. Dommage pour moi que vivre au Japon ne me permette pas d'aller feuilleter l'ouvrage en librairie ou en bibliothèque!
Jun 9, 2017 at 13:45 comment added Pas un clue Je crois que j'avais vu ces informations dans Le français dans tous les sens d'Henriette Walter, si vous êtes intéressé.
Jun 9, 2017 at 13:43 comment added Philippe Fascinant ce concept d'allonger les nasales au pluriel. Je n'en avais jamais entendu parler, mais je suis d'accord que cette distinction, tout comme celle du A bref/A long des Belges, va échapper à l'oreille de tout auditeur dont le dialecte ne contient pas la distinction.
Jun 8, 2017 at 15:36 review Late answers
Jun 9, 2017 at 7:23
Jun 8, 2017 at 15:33 comment added Pas un clue Aussi, les Belges ont le couple A bref/A long pour marquer ce qu'au Québec on distingue avec /a/ et /ɑ/. Un canadien-français non averti dirait que la distinction ne se fait pas chez les Belges.
Jun 8, 2017 at 15:32 comment added Pas un clue Parfois notre oreille de canadiens-français pourrait perdre une subtilité qui n'échapperait pas à un auditeur local. J'ai lu que certains Français, dans une région particulière, allongeaient leurs nasales en fin de mots lorsque ces mots sont au pluriel (lapin /lapɛ̃/, lapins /lapɛ̃ː/). Bien qu'objectivement l'allongement y soit, il pourrait fort bien échapper à tous ceux (fort nombreux) qui ne pratiquent pas cette façon de marquer le pluriel.
Jun 8, 2017 at 15:21 review First posts
Jun 8, 2017 at 15:39
Jun 8, 2017 at 15:20 history answered Philippe CC BY-SA 3.0