The question is on this sentence from La porte étroite by André Gide. The name of the character narrating it is Jerome.
Il me plaisait que cette habitude quasi monacale me préservât d’un monde qui, du reste, m’attirait peu et qu’il m’eût suffi qu’Alissa pût craindre pour m’apparaître haïssable aussitôt.
Question
Which is the correct way to parse it?
Parsing A:
Il me plaisait [1A] que cette habitude quasi monacale me préservât d’un monde qui, du reste, m’attirait peu et [2] qu’il m’eût suffi qu’Alissa pût craindre pour m’apparaître haïssable aussitôt.
By this parsing, there are two things that pleased Jerome, [1A] and [2]. But craindre does not have an object and therefore must be an intransitive verb.
Parsing B:
Il me plaisait que cette habitude quasi monacale me préservât d’un monde [1B] qui, du reste, m’attirait peu et [2] qu’il m’eût suffi qu’Alissa pût craindre pour m’apparaître haïssable aussitôt.
By this parsing, the monde is characterized in two ways, [1B] and [2]. I believe qu (in qu'il) would now be a relative pronoun referring back to monde, which is the object of craindre
Background
This is the context from which the sentence was lifted:
Et sa voix en me disant cela était à la fois calme et triste ; mais le sourire qui l’illuminait restait si sereinement beau que je prenais honte de mes craintes et de mes protestations ; il me semblait alors que d’elles seules vînt cet arrière-son de tristesse que je sentais au fond de sa voix. Sans aucune transition, je commençai à parler de mes projets, de mes études et de cette nouvelle forme de vie de laquelle je me promettais tant de profit. L’École normale n’était pas alors ce qu’elle est devenue depuis peu ; une discipline assez rigoureuse ne pesait qu’aux esprits indolents ou rétifs ; elle favorisait l’effort d’une volonté studieuse. Il me plaisait que cette habitude quasi monacale me préservât d’un monde qui, du reste, m’attirait peu et qu’il m’eût suffi qu’Alissa pût craindre pour m’apparaître haïssable aussitôt. Miss Ashburton gardait à Paris l’appartement qu’elle occupait d’abord avec ma mère. Ne connaissant guère qu’elle à Paris, Abel et moi passerions quelques heures de chaque dimanche auprès d’elle ; chaque dimanche j’écrirais à Alissa et ne lui laisserais rien ignorer de ma vie.