The question is on the highlighted words in this passage from La porte étroite by André Gide. The "je" in it is Alissa.
Grande émotion, en passant rue de Paris avant-hier, de voir, à la devanture de M…, bien indiscrètement étalé, le livre d’Abel que tu m’avais annoncé, mais à la réalité duquel je ne parvenais pas à croire. Je n’ai pu y tenir ; je suis entrée ; mais le titre m’en paraissait si ridicule que j’hésitais à le dire au commis ; j’ai même vu l’instant où j’allais ressortir de la boutique avec n’importe quel autre ouvrage. Heureusement, une pente pile de Privautés attendait le client, près du comptoir – où j’ai jeté cent sous, après m’être emparée d’un exemplaire, et sans avoir eu besoin de parler.
QUESTIONS
- Suppose that Alissa had brought herself to believe (succeeded in believing) in the reality of the book. Which of the following would express that?
(A) . . . le livre d’Abel que tu m’avais annoncé, et à la réalité duquel j'étais parvenue à croire
(B) . . . le livre d’Abel que tu m’avais annoncé, et à la réalité duquel je parvenais à croire
- If the answer to 1 is (A), then it would appear that negation affects the form of verb. Gide has:
(G) . . . le livre d’Abel que tu m’avais annoncé, mais à la réalité duquel je ne parvenais pas à croire
Plus-que-parfait for the affirmative vs. imparfait for the negative version. Why is that when, presumably, the same thing is being affirmed or negated?
If the answer to 1 is (B), why should we use the imperfect when the action spoken of is a "completed" action, just like m’avais annoncé?
Could one have said:
(G') . . . le livre d’Abel que tu m’avais annoncé, mais à la réalité duquel je n'étais pas parvenu à croire