Dans la majorité des cas, on ne peut pas l'ignorer. Dans la première phrase, la raison est simple: enlever le pronom impersonnel laisserait rien en tant que compliment pour le verbe "être":
Ce (...) n'est pas ____.
Bien que le mot "facile" a été employé dans la première proposition, ce n'est pas une partie de la deuxième proposition, alors on a besoin du pronom impersonnel pour servir de complément pour le verbe.
Dans la deuxième exemple, en voit un construction similaire: le verbe "croire" a besoin d'un complément d'objet si on fait référence à croire quelque chose en particulière.
La troisième exemple est pareil: Je sais quoi ? C'est répondu par le mot "le", qui agit et d'un complément d'objet et d'un lien avec la proposition auparavant.
La quatrième s'agit d'un autre exemple de la même chose: de dire que je ne suis plus sans complément voudrait dire que je n'existe plus, n'ayant que le lien d'être dans la même phrase que la première proposition à cette dernière.
Alors, non, on ne doit pas ignorer le pronom le, c'est nécessaire pour compléter la proposition et pour lier avec ce qui vient avant.