Il s'agit d'un « infinitif de narration ou historique introduit par de (langue littéraire) » (Le bon usage, Grevisse et Goosse, éd. Duculot, 14e, § 901) avec le sujet apparaissant avant l'infinitif :
Je m'écriai : « Voilà notre homme ! » et mes collègues d'APPLAUDIR, et
le roi D'AGRÉER M. de Damas (Chateaubriand)
On le classe dans la catégorie des infinitifs prédicats de phrase. L'infinitif de narration participait d'un registre familier au 17e, parfois sans préposition (« Lors Oudart se revestir [...] ; Chacun rire, tous se préparer », Rabelais, § 901 note H1), alors que le LBU dit de lui « qu'il passe aujourd'hui pour élégant et un peu recherché ». Voir peut-être ceci en réponse à cela pour une réflexion sur la syntaxe.
Ce genre de construction met en relief la conséquence d'actions antérieures (BDL), ce qui n'est pas nécessairement le cas avec les autres formulations proposées, que pourrait par ailleurs évoquer un adverbe.
It is an "infinitif de narration ou historique introduit par de (langue littéraire)" [narrative or historical infinitive introduced by de (literary language)] (Le bon usage, Grevisse et Goosse, éd. Duculot, 14e, § 901) with the subject appearing before the infinitive:
Je m'écriai : « Voilà notre homme ! » et mes collègues d'APPLAUDIR, et
le roi D'AGRÉER M. de Damas (Chateaubriand)
It is classified in the category of predicate infinitives of a sentence. The narrative infinitive was part of a colloquial register in the 17th century, sometimes without a preposition ("Lors Oudart se revestir [...] ; Chacun rire, tous se préparer", Rabelais, § 901 note H1), while the LBU says of it "qu'il passe aujourd'hui pour élégant et un peu recherché" [that it passes today for elegant and a bit refined]. See perhaps this in response to that for some thoughts concerning syntax.
This kind of construction emphasizes the consequence of previous actions (BDL), which is not necessarily the case with the other proposed phrasings, which might otherwise be evoked by an adverb.