This is from Proust
Le docteur, cependant, poussait Mme Verdurin à laisser jouer le pianiste, non pas qu’il crût feints les troubles que la musique lui donnait – il y reconnaissait certains états neurasthéniques – mais par cette habitude qu’ont beaucoup de médecins de faire fléchir immédiatement la sévérité de leurs prescriptions dès qu’est en jeu, chose qui leur semble beaucoup plus importante, quelque réunion mondaine dont ils font partie et dont la personne à qui ils conseillent d’oublier pour une fois sa dyspepsie, ou sa grippe, est un des facteurs essentiels.
I've checked that there are no typos in the above sentence here. In the above sentence 'chose' is not precded by a determinative. Why? Defining a determinative is a bit hard but roughly any of the words such as de, des, le, les, autre, ces, cette, quelque and a few others are determinatives. I checked about 20 examples of 'chose' in Proust and all except one was preceded by a determinative.
L’influence anesthésiante de l’habitude ayant cessé, je me mettais à penser, à sentir, choses si tristes
I also found another analogous case, here 'fiction' is not preceded by a determinative:
Mme Verdurin s’immobilisa, prit une expression inerte comme si elle était devenue une statue, fiction/ qui lui permit d’être censée ne pas avoir entendu ce mot insupportable de poseur qui avait l’air d’impliquer qu’on pouvait « poser » avec eux, donc qu’on était « plus qu’eux ».