>Le japonais et moi, ça fait **trois / dix / mille** !

>{vs} : Le japonais et moi, ça fait **deux** !

Je me demande si avec l'augmentation du nombre désigné dans « ça fait deux/trois/dix/mille/etc. », l'écart se creuse entre la langue japonaise et le locuteur ? Comme s’il s’y connaissait de moins en moins en japonais ? Je veux dire, est-ce que plus le nombre est élevé, plus cette expression insiste sur sa connaissance quasi nulle de la langue ?

Ou bien ne s'agissait-il que d’un petit jeu de mot de la part de quelqu’un qui s'était peut-être lassé de dire encore et toujours « ça fait deux » ?