Il y a des écrits qui datent depuis avant la prétendue apparition de l'expression "au temps pour moi" associée aux exercices militaires. En effet des écrits montrent l'utilisation du terme "autant pour le brodeur" c'est pour cette raison que certains grammairiens réfutent la version "au temps pour moi"  . À mon avis je justifie la situation par le fait que les militaires propagent plus facilement les écrits que les livres (à l'époque), il suffit d'une personne qui se trompe pour propager l'erreur (surtout quand la personne est influente).

Il y a des écrits qui datent d'avant la prétendue apparition de l'expression "au temps pour moi" associée aux exercices militaires. En effet des écrits montrent l'utilisation du terme "autant pour le brodeur", c'est pour cette raison que certains grammairiens réfutent la version "au temps pour moi". À mon avis la situation se justifie par le fait que les militaires propagent plus facilement les écrits que les livres (à l'époque), il suffit d'une personne qui se trompe pour propager l'erreur (surtout quand la personne est influente).

il y a des ecris qui date depuis longtemps que la prétendu apparition de l'expression "au temp pour moi" associés aux exercices militaires. En effet des écrits montre l'utilisation du terme "autant pour le brodeur" c'est pour cette raison que certains grammairiens réfute la version "au temp pour moi" . A mon sens je justifie la situation par le faite que les militaires propage plus facilement les écrits que les livre(a l'époque) il suffit d'une personne qui se trompe pour propager l'erreur (surtout quand la personne est influente)

Il y a des écrits qui datent depuis avant la prétendue apparition de l'expression "au temps pour moi" associée aux exercices militaires. En effet des écrits montrent l'utilisation du terme "autant pour le brodeur" c'est pour cette raison que certains grammairiens réfutent la version "au temps pour moi" . À mon avis je justifie la situation par le fait que les militaires propagent plus facilement les écrits que les livres (à l'époque), il suffit d'une personne qui se trompe pour propager l'erreur (surtout quand la personne est influente).