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Ni l'un ni l'autre tel qu'écrit. Le Journal de Mickey est un magazine (voir périodique, publication en série; on peut parler d'un numéro ou d'un exemplaire.); l'article fait partie du titre ici. Généralement1, l'article, dans ce cas, prend la majuscule, ainsi que le premier nom et les noms propres; si on contracte l'article du titre avec « à » ou « de », on ne le met pas en majuscule. Le titre est écrit en italique, ou entre guillemets en contexte manuscrit uniquement.

Le magazine Le Journal de Mickey.
C'est tiré du Journal de Mickey.

L'emploi métonymique. Si Mickey produisait lui-même le magazine et que tous étaient familiers avec son œuvre, on pourrait sans doute en parler avec le nom seul au pluriel (des Mickeys, en plus du singuliersingulier), le cas échéant. Le titre autrement est souvent invariable (« Dix-huit mille Baiser au lépreux tirés. » (Mauriac, Journal d'un homme de trente ans, 16 mai 1922; voir sur l'accord des verbes); mais pas toujours (« [...] vingt Iliades. » (R Rolland, Jean-Chr., t. V, p. 45), et « surtout pour les revues et les collections » : « Je feuilletais des vieux Magasins Pittoresques » (Mauriac, Robe prétexte, XXIX).— Le bon usage, ed. Boeck et Duculot, §525. Ma remarque serait que dans bien des cas, il s'agit d'ajouter un « s » alors qu'ici le pluriel est journaux et on s'écarte donc du nom formel du magazine. Mais on est libre d'utiliser le « des Journaux de Mickey », semble-t-il, en plus du « des Journal de Mickeydes Journal de Mickey », et de l'emploi avec numéro(s)numéro(s) que d'autres réponses suggèrent.


1. Cette façon de faire et son application aux oeuvres et ouvrages n'est peut-être pas normalisée dans l'ensemble de la francophonie; il faudra comparer avec les règles traditionnelles, le cas échéant.

Ni l'un ni l'autre tel qu'écrit. Le Journal de Mickey est un magazine (voir périodique, publication en série; on peut parler d'un numéro ou d'un exemplaire.); l'article fait partie du titre ici. Généralement1, l'article, dans ce cas, prend la majuscule, ainsi que le premier nom et les noms propres; si on contracte l'article du titre avec « à » ou « de », on ne le met pas en majuscule. Le titre est écrit en italique, ou entre guillemets en contexte manuscrit uniquement.

Le magazine Le Journal de Mickey.
C'est tiré du Journal de Mickey.

L'emploi métonymique. Si Mickey produisait lui-même le magazine et que tous étaient familiers avec son œuvre, on pourrait sans doute en parler avec le nom seul au pluriel (des Mickeys, en plus du singulier), le cas échéant. Le titre autrement est souvent invariable (« Dix-huit mille Baiser au lépreux tirés. » (Mauriac, Journal d'un homme de trente ans, 16 mai 1922; voir sur l'accord des verbes); mais pas toujours (« [...] vingt Iliades. » (R Rolland, Jean-Chr., t. V, p. 45), et « surtout pour les revues et les collections » : « Je feuilletais des vieux Magasins Pittoresques » (Mauriac, Robe prétexte, XXIX).— Le bon usage, ed. Boeck et Duculot, §525. Ma remarque serait que dans bien des cas, il s'agit d'ajouter un « s » alors qu'ici le pluriel est journaux et on s'écarte donc du nom formel du magazine. Mais on est libre d'utiliser le « des Journaux de Mickey », semble-t-il, en plus du « des Journal de Mickey », et de l'emploi avec numéro(s) que d'autres réponses suggèrent.


1. Cette façon de faire et son application aux oeuvres et ouvrages n'est peut-être pas normalisée dans l'ensemble de la francophonie; il faudra comparer avec les règles traditionnelles, le cas échéant.

Ni l'un ni l'autre tel qu'écrit. Le Journal de Mickey est un magazine (voir périodique, publication en série; on peut parler d'un numéro ou d'un exemplaire.); l'article fait partie du titre ici. Généralement1, l'article, dans ce cas, prend la majuscule, ainsi que le premier nom et les noms propres; si on contracte l'article du titre avec « à » ou « de », on ne le met pas en majuscule. Le titre est écrit en italique, ou entre guillemets en contexte manuscrit uniquement.

Le magazine Le Journal de Mickey.
C'est tiré du Journal de Mickey.

L'emploi métonymique. Si Mickey produisait lui-même le magazine et que tous étaient familiers avec son œuvre, on pourrait sans doute en parler avec le nom seul au pluriel (des Mickeys, en plus du singulier), le cas échéant. Le titre autrement est souvent invariable (« Dix-huit mille Baiser au lépreux tirés. » (Mauriac, Journal d'un homme de trente ans, 16 mai 1922; voir sur l'accord des verbes); mais pas toujours (« [...] vingt Iliades. » (R Rolland, Jean-Chr., t. V, p. 45), et « surtout pour les revues et les collections » : « Je feuilletais des vieux Magasins Pittoresques » (Mauriac, Robe prétexte, XXIX).— Le bon usage, ed. Boeck et Duculot, §525. Ma remarque serait que dans bien des cas, il s'agit d'ajouter un « s » alors qu'ici le pluriel est journaux et on s'écarte donc du nom formel du magazine. Mais on est libre d'utiliser le « des Journaux de Mickey », semble-t-il, en plus du « des Journal de Mickey », et de l'emploi avec numéro(s) que d'autres réponses suggèrent.


1. Cette façon de faire et son application aux oeuvres et ouvrages n'est peut-être pas normalisée dans l'ensemble de la francophonie; il faudra comparer avec les règles traditionnelles, le cas échéant.

L'utilisation d'italiques à outrance masquait l'idée que quand on contracte, cet élément n'est pas mis en italiques avec ce qu'il reste du titre.
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Ni l'un ni l'autre tel qu'écrit. Le Journal de Mickey est un magazine (voir périodique, publication en série; on peut parler d'un numéro ou d'un exemplaire.); l'article fait partie du titre ici. Généralement1, l'article, dans ce cas, prend la majuscule, ainsi que le premier nom et les noms propres; si on contracte l'article du titre avec « à » ou « de », on ne le met pas en majuscule. Le titre est écrit en italique, ou entre guillemets en contexte manuscrit uniquement.

Le magazine Le Journal de Mickey.
C'est tiré du Journal de Mickey.

L'emploi métonymique. Si Mickey produisait lui-même le magazine et que tous étaient familiers avec son œuvre, on pourrait sans doute en parler avec le nom seul au pluriel (des Mickeys, en plus du singulier), le cas échéant. Le titre autrement est souvent invariable (« Dix-huit mille Dix-huit mille Baiser au lépreux tirés.Baiser au lépreux tirés. » (Mauriac, Journal d'un homme de trente ans, 16 mai 1922; voir sur l'accord des verbes); mais pas toujours (« [...] vingt vingt IliadesIliades. » (R Rolland, Jean-Chr., t. V, p. 45), et « surtout pour les revues et les collections » : « Je feuilletais des vieux Je feuilletais des vieux Magasins PittoresquesMagasins Pittoresques » (Mauriac, Robe prétexte, XXIX).— Le bon usage, ed. Boeck et Duculot, §525. Ma remarque serait que dans bien des cas, il s'agit d'ajouter un « s » alors qu'ici le pluriel est journaux et on s'écarte donc du nom formel du magazine. Mais on est libre d'utiliser le « des des Journaux de Mickey », semble-t-il, en plus du « des des Journal de Mickey », et de l'emploi avec numéro(s) que d'autres réponses suggèrent.


1. Cette façon de faire et son application aux oeuvres et ouvrages n'est peut-être pas normalisée dans l'ensemble de la francophonie; il faudra comparer avec les règles traditionnelles, le cas échéant.

Ni l'un ni l'autre tel qu'écrit. Le Journal de Mickey est un magazine (voir périodique, publication en série; on peut parler d'un numéro ou d'un exemplaire.); l'article fait partie du titre ici. Généralement1, l'article, dans ce cas, prend la majuscule, ainsi que le premier nom et les noms propres; si on contracte l'article du titre avec « à » ou « de », on ne le met pas en majuscule. Le titre est écrit en italique, ou entre guillemets en contexte manuscrit uniquement.

Le magazine Le Journal de Mickey.
C'est tiré du Journal de Mickey.

L'emploi métonymique. Si Mickey produisait lui-même le magazine et que tous étaient familiers avec son œuvre, on pourrait sans doute en parler avec le nom seul au pluriel (des Mickeys, en plus du singulier), le cas échéant. Le titre autrement est souvent invariable (« Dix-huit mille Baiser au lépreux tirés. » (Mauriac, Journal d'un homme de trente ans, 16 mai 1922; voir sur l'accord des verbes); mais pas toujours (« [...] vingt Iliades. » (R Rolland, Jean-Chr., t. V, p. 45), et « surtout pour les revues et les collections » : « Je feuilletais des vieux Magasins Pittoresques » (Mauriac, Robe prétexte, XXIX).— Le bon usage, ed. Boeck et Duculot, §525. Ma remarque serait que dans bien des cas, il s'agit d'ajouter un « s » alors qu'ici le pluriel est journaux et on s'écarte donc du nom formel du magazine. Mais on est libre d'utiliser le « des Journaux de Mickey », semble-t-il, en plus du « des Journal de Mickey », et de l'emploi avec numéro(s) que d'autres réponses suggèrent.


1. Cette façon de faire et son application aux oeuvres et ouvrages n'est peut-être pas normalisée dans l'ensemble de la francophonie; il faudra comparer avec les règles traditionnelles, le cas échéant.

Ni l'un ni l'autre tel qu'écrit. Le Journal de Mickey est un magazine (voir périodique, publication en série; on peut parler d'un numéro ou d'un exemplaire.); l'article fait partie du titre ici. Généralement1, l'article, dans ce cas, prend la majuscule, ainsi que le premier nom et les noms propres; si on contracte l'article du titre avec « à » ou « de », on ne le met pas en majuscule. Le titre est écrit en italique, ou entre guillemets en contexte manuscrit uniquement.

Le magazine Le Journal de Mickey.
C'est tiré du Journal de Mickey.

L'emploi métonymique. Si Mickey produisait lui-même le magazine et que tous étaient familiers avec son œuvre, on pourrait sans doute en parler avec le nom seul au pluriel (des Mickeys, en plus du singulier), le cas échéant. Le titre autrement est souvent invariable (« Dix-huit mille Baiser au lépreux tirés. » (Mauriac, Journal d'un homme de trente ans, 16 mai 1922; voir sur l'accord des verbes); mais pas toujours (« [...] vingt Iliades. » (R Rolland, Jean-Chr., t. V, p. 45), et « surtout pour les revues et les collections » : « Je feuilletais des vieux Magasins Pittoresques » (Mauriac, Robe prétexte, XXIX).— Le bon usage, ed. Boeck et Duculot, §525. Ma remarque serait que dans bien des cas, il s'agit d'ajouter un « s » alors qu'ici le pluriel est journaux et on s'écarte donc du nom formel du magazine. Mais on est libre d'utiliser le « des Journaux de Mickey », semble-t-il, en plus du « des Journal de Mickey », et de l'emploi avec numéro(s) que d'autres réponses suggèrent.


1. Cette façon de faire et son application aux oeuvres et ouvrages n'est peut-être pas normalisée dans l'ensemble de la francophonie; il faudra comparer avec les règles traditionnelles, le cas échéant.

Mickey singulier ->commentaire.
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Ni l'un ni l'autre tel qu'écrit. Le Journal de Mickey est un magazine (voir périodique, publication en série; on peut parler d'un numéro ou d'un exemplaire.); l'article fait partie du titre ici. Généralement1, l'article, dans ce cas, prend la majuscule, ainsi que le premier nom et les noms propres; si on contracte l'article du titre avec « à » ou « de », on ne le met pas en majuscule. Le titre est écrit en italique, ou entre guillemets en contexte manuscrit uniquement.

Le magazine Le Journal de Mickey.
C'est tiré du Journal de Mickey.

L'emploi métonymique. Si Mickey produisait lui-même le magazine et que tous étaient familiers avec son œuvre, on pourrait sans doute en parler avec le nom seul au pluriel (des Mickeys, en plus du singulier), le cas échéant. Le titre autrement est souvent invariable (« Dix-huit mille Baiser au lépreux tirés. » (Mauriac, Journal d'un homme de trente ans, 16 mai 1922; voir sur l'accord des verbes); mais pas toujours (« [...] vingt Iliades. » (R Rolland, Jean-Chr., t. V, p. 45), et « surtout pour les revues et les collections » : « Je feuilletais des vieux Magasins Pittoresques » (Mauriac, Robe prétexte, XXIX).— Le bon usage, ed. Boeck et Duculot, §525. Ma remarque serait que dans bien des cas, il s'agit d'ajouter un « s » alors qu'ici le pluriel est journaux et on s'écarte donc du nom formel du magazine. Mais on est libre d'utiliser le « des Journaux de Mickey », semble-t-il, en plus du « des Journal de Mickey », et de l'emploi avec numéro(s) que d'autres réponses suggèrent.


1. Cette façon de faire et son application aux oeuvres et ouvrages n'est peut-être pas normalisée dans l'ensemble de la francophonie; il faudra comparer avec les règles traditionnelles, le cas échéant.

Ni l'un ni l'autre tel qu'écrit. Le Journal de Mickey est un magazine (voir périodique, publication en série; on peut parler d'un numéro ou d'un exemplaire.); l'article fait partie du titre ici. Généralement1, l'article, dans ce cas, prend la majuscule, ainsi que le premier nom et les noms propres; si on contracte l'article du titre avec « à » ou « de », on ne le met pas en majuscule. Le titre est écrit en italique, ou entre guillemets en contexte manuscrit uniquement.

Le magazine Le Journal de Mickey.
C'est tiré du Journal de Mickey.

L'emploi métonymique. Si Mickey produisait lui-même le magazine et que tous étaient familiers avec son œuvre, on pourrait sans doute en parler avec le nom seul au pluriel (des Mickeys), le cas échéant. Le titre autrement est souvent invariable (« Dix-huit mille Baiser au lépreux tirés. » (Mauriac, Journal d'un homme de trente ans, 16 mai 1922; voir sur l'accord des verbes); mais pas toujours (« [...] vingt Iliades. » (R Rolland, Jean-Chr., t. V, p. 45), et « surtout pour les revues et les collections » : « Je feuilletais des vieux Magasins Pittoresques » (Mauriac, Robe prétexte, XXIX).— Le bon usage, ed. Boeck et Duculot, §525. Ma remarque serait que dans bien des cas, il s'agit d'ajouter un « s » alors qu'ici le pluriel est journaux et on s'écarte donc du nom formel du magazine. Mais on est libre d'utiliser le « des Journaux de Mickey », semble-t-il, en plus du « des Journal de Mickey », et de l'emploi avec numéro(s) que d'autres réponses suggèrent.


1. Cette façon de faire et son application aux oeuvres et ouvrages n'est peut-être pas normalisée dans l'ensemble de la francophonie; il faudra comparer avec les règles traditionnelles, le cas échéant.

Ni l'un ni l'autre tel qu'écrit. Le Journal de Mickey est un magazine (voir périodique, publication en série; on peut parler d'un numéro ou d'un exemplaire.); l'article fait partie du titre ici. Généralement1, l'article, dans ce cas, prend la majuscule, ainsi que le premier nom et les noms propres; si on contracte l'article du titre avec « à » ou « de », on ne le met pas en majuscule. Le titre est écrit en italique, ou entre guillemets en contexte manuscrit uniquement.

Le magazine Le Journal de Mickey.
C'est tiré du Journal de Mickey.

L'emploi métonymique. Si Mickey produisait lui-même le magazine et que tous étaient familiers avec son œuvre, on pourrait sans doute en parler avec le nom seul au pluriel (des Mickeys, en plus du singulier), le cas échéant. Le titre autrement est souvent invariable (« Dix-huit mille Baiser au lépreux tirés. » (Mauriac, Journal d'un homme de trente ans, 16 mai 1922; voir sur l'accord des verbes); mais pas toujours (« [...] vingt Iliades. » (R Rolland, Jean-Chr., t. V, p. 45), et « surtout pour les revues et les collections » : « Je feuilletais des vieux Magasins Pittoresques » (Mauriac, Robe prétexte, XXIX).— Le bon usage, ed. Boeck et Duculot, §525. Ma remarque serait que dans bien des cas, il s'agit d'ajouter un « s » alors qu'ici le pluriel est journaux et on s'écarte donc du nom formel du magazine. Mais on est libre d'utiliser le « des Journaux de Mickey », semble-t-il, en plus du « des Journal de Mickey », et de l'emploi avec numéro(s) que d'autres réponses suggèrent.


1. Cette façon de faire et son application aux oeuvres et ouvrages n'est peut-être pas normalisée dans l'ensemble de la francophonie; il faudra comparer avec les règles traditionnelles, le cas échéant.

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