There could be “il y a”, commonly following “puisque qqch”, among other uses:
- Les raquettes sont embarassantes, mais prenons-les donc aujourd’hui, puisque neige il y a et qu’on en annonce encore dans la journée.
- Quand tout va bien, ça ne prend que dix minutes, mais puisque problème il y a, on peut s’attendre à y passer une heure.
And without “puisque”:
- Lorsqu’il y a des odeurs, et odeurs il y a souvent, envoyez un peu d’eau dans le tuyau. Un plombier viendra dans quelques jours.
“Chemin faisant” is another common expression featuring the absence of the article as well as an inversion of usual word order:
Chemin faisant, il vit le col du chien pelé.
Qu'est-ce là ? lui dit-il. —Rien. —Quoi, rien ? —Peu de chose.
—Mais encor ? —Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
—Attaché ! dit le loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ?
–Le loup et le chien, Jean de La Fontaine
“À tout venant” pretty much follows the same pattern as “chemin faisant”, but it also saw its usage extended in the creation of a noun: “le tout-venant”, also spelled without the hyphen, “le tout venant” (TLFi). Initially, in the XIXth century, a specialized word used in the mining industry to designate unsorted ore coming up from the mine, it was eventually incorporated in the commercial language, before working its way in the general vocabulary of most of the population.
« Que faisiez-vous au temps chaud ? »
Dit-elle à cette emprunteuse.
« Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
–La cigale et la fourmi, Jean de La FontaineJ'en suis arrivé, à présent, après tant de mésaventures, à me demander si ce qu'on appelle incroyable, invraisemblable, n'est pas en définitive le tout-venant que les habitudes et les préjugés nous empêchent de regarder comme des choses normales.
–Chroniques de mauvaise compagnie, Alphonse Boudard
A recent question about the French version of the Canadian National Anthem showed that such an inversion is used in it. Though it is by no mean a common phrase, its location in such an official piece of poetry gives it a fairly high visibility, though mostly by Canadians, and some value as an example here, I believe:
Et ta valeur, de foi trempée,
Protégera nos foyers et nos droits.