À la lecture des réponses, je suis un peu étonné que personne ne s'intéresse à la version "une auteur", qui féminise simplement la fonction sans torturer le mot. Cela s'applique d'ailleurs à de nombeux autres noms (professeur, etc.). La réticence de l'Académie à considérer ces mots comme épicènes n'est pas explicite et comme correcteur j'ai pu constater que c'est un compromis qui a la faveur de nombreuses personnes. Mais il semble que beaucoup ont aussi intérêt à cultiver des polémiques plutôt que d'opter pour des solutions simples et éprouvées…