On trouve ce mot déjà en 1976 dans un poème de Henri Droguet, ce qui signifie qu'il doit être attesté au moins comme ayant fait sa première apparition dans le français en 1976 ou bien avant, et que les dictionnaires, en particulier le TLFi, l'ont négligé, vu l'existence du mot « roncier », ou bien qu'il n'ont pas trouvé dans leur corpus.
Il figure avec la même orthographe dans un dictionnaire ancien (DICTIONNAIRE LANGUEDOCIEN-FRANÇOIS). Il est donc attesté dans le français et a été utilisé en France depuis très longtemps ; ce n'est pas un néologisme et son origine, très ancienne, remonte à une époque antérieure à au moins 1730 1780 puisque le dictionnaire daterait de 17341780 (Le rendu du texte par Google est très erratique : « Tan de grâce mil fept cent quatre- v in gcqua*) ».