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Selon le Dictionnaire des Expressions et Locutions figurées (les usuels du Robert) : « Tous Tous les trente-six du mois (jamais, ou très peu souvent), c'est à dire aussi peu souvent qu'un mois a trente-six jours, par référence plaisante à une division imaginaire du temps, basée cependant sur 12, c'est à dire jamais. » »

J'ajouterais qu'on retrouve cette référence, à la fois au calendrier et à jamais, dans les expressions « aux aux calendes grecques » » qui se comprend dans l'emploi actuel comme une division du temps qui n'a plus cours, à une date qui ne reviendra jamais.

Parmi les expressions qui comportent un nombre particulier, il y a aussi « la la semaine des quatre jeudis » » pour dire jamais : impossibilité d'une semaine avec quatre jours semblables, et peut-être aussi dans la première moitié du XXe siècle, rêve d'une semaine de vacances non prévue, le jeudi étant le jour où les écoliers n'avaient pas cours.

Autre expression utilisée comme un intensif et contenant un nombre : « Être être sur son trente-et-un » » (mettre ses plus beaux habits), dans le Dictionnaire historique de la langue française Alain Rey suggère que c'est peut-être une allusion portant sur le jour excédant le compte des jours d'un mois « normal » normal » (de trente-jours jours).

Selon le Dictionnaire des Expressions et Locutions figurées (les usuels du Robert) « Tous les trente-six du mois (jamais, ou très peu souvent), c'est à dire aussi peu souvent qu'un mois a trente-six jours, par référence plaisante à une division imaginaire du temps, basée cependant sur 12, c'est à dire jamais. »

J'ajouterais qu'on retrouve cette référence, à la fois au calendrier et à jamais, dans les expressions « aux calendes grecques » qui se comprend dans l'emploi actuel comme une division du temps qui n'a plus cours, à une date qui ne reviendra jamais.

Parmi les expressions qui comportent un nombre particulier, il y a aussi « la semaine des quatre jeudis » pour dire jamais : impossibilité d'une semaine avec quatre jours semblables, et peut-être aussi dans la première moitié du XXe siècle, rêve d'une semaine de vacances non prévue, le jeudi étant le jour où les écoliers n'avaient pas cours.

Autre expression utilisée comme un intensif et contenant un nombre : « Être sur son trente-et-un » (mettre ses plus beaux habits), dans le Dictionnaire historique de la langue française Alain Rey suggère que c'est peut-être une allusion portant sur le jour excédant le compte des jours d'un mois « normal » (de trente-jours).

Selon le Dictionnaire des Expressions et Locutions figurées (les usuels du Robert) : « Tous les trente-six du mois (jamais, ou très peu souvent), c'est à dire aussi peu souvent qu'un mois a trente-six jours, par référence plaisante à une division imaginaire du temps, basée cependant sur 12, c'est à dire jamais. »

J'ajouterais qu'on retrouve cette référence, à la fois au calendrier et à jamais, dans les expressions « aux calendes grecques » qui se comprend dans l'emploi actuel comme une division du temps qui n'a plus cours, à une date qui ne reviendra jamais.

Parmi les expressions qui comportent un nombre particulier, il y a aussi « la semaine des quatre jeudis » pour dire jamais : impossibilité d'une semaine avec quatre jours semblables, et peut-être aussi dans la première moitié du XXe siècle, rêve d'une semaine de vacances non prévue, le jeudi étant le jour où les écoliers n'avaient pas cours.

Autre expression utilisée comme un intensif et contenant un nombre : « être sur son trente-et-un » (mettre ses plus beaux habits), dans le Dictionnaire historique de la langue française Alain Rey suggère que c'est peut-être une allusion portant sur le jour excédant le compte des jours d'un mois « normal » (de trente jours).

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Selon le Dictionnaire des Expressions et Locutions figurées (les usuels du Robert) « Tous les trente-six du mois (jamais, ou très peu souvent), c'est à dire aussi peu souvent qu'un mois a trente-six jours, par référence plaisante à une division imaginaire du temps, basée cependant sur 12, c'est à dire jamais. »

J'ajouterais qu'on retrouve cette référence, à la fois au calendrier et à jamais, dans les expressions « aux calendes grecques » qui se comprend dans l'emploi actuel comme une division du temps qui n'a plus cours, à une date qui ne reviendra jamais.

Parmi les expressions qui comportent un nombre particulier, il y a aussi « la semaine des quatre jeudis » pour dire jamais : impossibilité d'une semaine avec quatre jours semblables, et peut-être aussi dans la première moitié du XX èmee siècle, rêve d'une semaine de vacances non prévue, le jeudi étant le jour où les écoliers n'avaient pas cours.

Autre expression utilisée comme un intensif et contenant un nombre : « Être sur son trente-et-un » (mettre ses plus beaux habits), dans le Dictionnaire historique de la langue française Alain Rey suggère que c'est peut-être une allusion portant sur le jour excédant le compte des jours d'un mois « normal » (de trente-jours).

Selon le Dictionnaire des Expressions et Locutions figurées (les usuels du Robert) « Tous les trente-six du mois (jamais, ou très peu souvent), c'est à dire aussi peu souvent qu'un mois a trente-six jours, par référence plaisante à une division imaginaire du temps, basée cependant sur 12, c'est à dire jamais. »

J'ajouterais qu'on retrouve cette référence, à la fois au calendrier et à jamais, dans les expressions « aux calendes grecques » qui se comprend dans l'emploi actuel comme une division du temps qui n'a plus cours, à une date qui ne reviendra jamais.

Parmi les expressions qui comportent un nombre particulier, il y a aussi « la semaine des quatre jeudis » pour dire jamais : impossibilité d'une semaine avec quatre jours semblables, et peut-être aussi dans la première moitié du XX ème siècle, rêve d'une semaine de vacances non prévue, le jeudi étant le jour où les écoliers n'avaient pas cours.

Autre expression utilisée comme un intensif et contenant un nombre : « Être sur son trente-et-un » (mettre ses plus beaux habits), dans le Dictionnaire historique de la langue française Alain Rey suggère que c'est peut-être une allusion portant sur le jour excédant le compte des jours d'un mois « normal » (de trente-jours).

Selon le Dictionnaire des Expressions et Locutions figurées (les usuels du Robert) « Tous les trente-six du mois (jamais, ou très peu souvent), c'est à dire aussi peu souvent qu'un mois a trente-six jours, par référence plaisante à une division imaginaire du temps, basée cependant sur 12, c'est à dire jamais. »

J'ajouterais qu'on retrouve cette référence, à la fois au calendrier et à jamais, dans les expressions « aux calendes grecques » qui se comprend dans l'emploi actuel comme une division du temps qui n'a plus cours, à une date qui ne reviendra jamais.

Parmi les expressions qui comportent un nombre particulier, il y a aussi « la semaine des quatre jeudis » pour dire jamais : impossibilité d'une semaine avec quatre jours semblables, et peut-être aussi dans la première moitié du XXe siècle, rêve d'une semaine de vacances non prévue, le jeudi étant le jour où les écoliers n'avaient pas cours.

Autre expression utilisée comme un intensif et contenant un nombre : « Être sur son trente-et-un » (mettre ses plus beaux habits), dans le Dictionnaire historique de la langue française Alain Rey suggère que c'est peut-être une allusion portant sur le jour excédant le compte des jours d'un mois « normal » (de trente-jours).

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Selon le Dictionnaire des Expressions et Locutions figurées (les usuels du Robert) « Tous les trente-six du mois (jamais, ou très peu souvent), c'est à dire aussi peu souvent qu'un mois a trente-six jours, par référence plaisante à une division imaginaire du temps, basée cependant sur 12, c'est à dire jamais. »

J'ajouterais qu'on retrouve cette référence, à la fois au calendrier et à jamais, dans les expressions « aux calendes grecques » qui se comprend dans l'emploi actuel comme une division du temps qui n'a plus cours, à une date qui ne reviendra jamais.

Parmi les expressions qui comportent un nombre particulier, il y a aussi « la semaine des quatre jeudis » pour dire jamais : impossibilité d'une semaine avec quatre jours semblables, et peut-être aussi dans la première moitié du XX ème siècle, rêve d'une semaine de vacances non prévue, le jeudi étant le jour où les écoliers n'avaient pas cours.

Autre expression utilisée comme un intensif et contenant un nombre : « Être sur son trente-et-un » (mettre ses plus beaux habits), dans le Dictionnaire historique de la langue française Alain Rey suggère que c'est peut-être une allusion portant sur le jour excédant le compte des jours d'un mois « normal » (de trente-jours).