Il arrive que l'on soit amené à ajouter un complément de nom à un autre nom qui est déjà un complément de nom, et une telle extension ne soulève pas de question de style; une itération de cette opération semble commencer à sonner une fin proche au processus d'itération. Un cas tel que
« la poignée de la porte de la chambre de la suite de l'ambassadeur de La Tanzanie »
a déjà dépassé une limite; on ne peut trouver cinq niveaux que très rarement.
Y a-t-il des principes reconnus relatifs à cette question? Recommande-t-on d'éviter ce type d'enchainement après un nombre donné? Autrement est-ce que la limite serait naturellement fixée en conséquence d'un gout général non reconnu mais que l'expérience de la lecture et de la plume permette à l'utilisateur de la langue d'internaliser? Quelle serait alors cette limite? Certains principes généraux sont-ils conseillés dans le sens de fournir des substituts à des enchainements contenant trop d'itérations d'un complément de nom?