La formulation la plus naturelle à l'oreille serait probablement :
Il doit faire attention à ne pas tomber. C'est le principal danger. ( ou bien : le danger principal. Les deux se disent.)
L'élément de la phrase précédente que l'on veut remplacer est une action et pas un objet, on ne pourrait absolument pas avoir Celui-ci. En revanche, on pourrait employer Ceci, mais c'est un style un peu plus ancien ou plus formel.
Pour plus de détails, je renvoie moi aussi à la réponse de Laure à cette question, mais qui m'a semblé excellente. Est-ce la formulation de la réponse en français qui t'a gêné ?
(La suite est anecdotique et ne concerne pas directement la question principale.)
on parle plus facilement d'un grand danger que d'un gros. Mais ici principal m'a semblé meilleur, c'est un choix subjectif.
utiliser un possessif (son) avec danger est étrange. Ce danger le menace, le concerne, le guette, oui. Mais on ne peut pas lui "attribuer", ce n'est pas "son" danger, si l'on veut se l'expliquer. La relation entre le danger et le protagoniste de la phrase est rendu suffisamment évident par le contexte.
English version :
The best-sounding translation would probably be :
Il doit faire attention à ne pas tomber. C'est le principal danger. (or else: le danger principal. Both variants can work.)
The element in the preceding sentence to be replaced by a pronoun is an action, not an object, so Celui-ci is out. Ceci, however, could be used here, although it renders the tone more formal.
I, for one, find Laure's answer to the question you quoted to be very good. Was it the French wording of the answer that was problematic for you?
(The following points are outside the main scope of the question. Just a few remarks, possibly useful?)
A "gros danger" is hardly used in writing, since it's somewhat familiar. A "grand danger" might be preferred. Here I found principal danger to be more natural, but it is indeed a subjective matter.
It's quite odd to use a possessive with danger, since as a phenomenon it is not really related to the protagonist, i.e. he doesn't "own" it nor is it a property of his. The link between the two is made clear by the context without the use of any possessive.