The usual rule is that there is no agreement when the pronoun en is used and is the direct object of the verb.
However, it can be argued that en might be considered an indirect object of recevoir that replaces de sa part. In that case the agreement is possible but would require des courriers to be located before the past participle, which isn't the case.
The following would work though:
Des courriers de sa part, j'en ai reçus !
There is a second kind of exception described here, from the TLFi :
Rem. Accord de la forme adj. du verbe. Lorsque en est compl. d'obj. d'un part. passé conjugué avec avoir et qu'il le précède, le part. passé est gén. invar. On justifie l'invariabilité en disant que ,,en est un neutre partitif signifiant « de cela, une partie de cela » et qu'il est (...) complément déterminatif du nom partie (ou quantité) sous entendu`` (Grev. 1969, § 795). L'usage toutefois est indécis et en relation avec un adv. de quantité (beaucoup, combien, tant), le part. passé peut s'accorder. Combien j'en [d'hommes] ai déjà passés ! combien j'en puis encore atteindre ! pourquoi mon égal irait-il plus loin que moi ? (Guéhenno, Jean-Jacques, 1952, p. 32). Mais, là encore, la règle est imprécise et précaire. J'en ai tant vu des rois ! (Hugo, Feuilles automne, III, ds Grev. 1969, § 795). Il faut noter enfin que l'arrêté du J.O. du 9 févr. 1977 admet l'un et l'autre accord.
Another interpretation would be that in the first sentence, the quantity adverb comme is implied so the sentence is really:
Comme j'en ai reçus, des courriers de sa part !
In that case, the agreement is accepted.